PME, quelles tendances Social Media 2025 intégrer à votre stratégie d’entreprise ?

En 2025, les réseaux sociaux continuent d’évoluer rapidement, offrant de nouvelles opportunités pour accroître la visibilité de votre PME et renforcer l’engagement de vos communautés. La CPME décrypte pour vous les nouvelles tendances à intégrer à votre stratégie digitale pour rester compétitifs dans cet environnement en constante mutation.

  • L’essor des vidéos courtes pour capter l’attention 

    Les trois premières secondes d’une vidéo sont déterminantes pour retenir l’attention de votre audience et inciter les internautes à visionner votre vidéo en entier : soyez créatifs ! 
     
  • Les hashtags en déclin 
    Les hashtags, autrefois essentiels, cèdent progressivement la place à une recherche par mots-clés. Privilégiez désormais des contenus visuels et descriptifs pour rester compétitifs.
     
  • L’IA au cœur de la création de contenu 

    L’intelligence artificielle vous permet de gagner du temps en automatisant et en personnalisant vos contenus sur les réseaux sociaux.
     
  • L’authenticité, nouveau levier incontournable

    ​​​​​​​Face à l’essor de l’IA, les internautes recherchent avant tout des contenus authentiques, auxquels ils pourront s’identifier. Pour renforcer l’engagement de vos communautés, pensez donc à adopter une communication qui reflète de manière fidèle les valeurs de votre entreprise.
     
  • Les employés comme ambassadeurs de votre marque 

    Encouragez vos employés à partager du contenu lié à votre entreprise, pour humaniser votre marque. Ils peuvent être de puissants ambassadeurs, et contribuerons à élargir votre visibilité.

[🔴 Communiqué de presse – Retraite : la CPME prête à assumer ses responsabilités]

La CPME est prête à reprendre la gouvernance du régime de retraite des salariés du privé, comme le propose Éric Lombard, ministre de l’Économie. Sous réserve cependant d’y adjoindre une règle d’or, plaçant de fait les partenaires sociaux devant leurs responsabilités. C’est une démarche que nous portons depuis le début du conclave, convaincus que seuls les partenaires sociaux peuvent assurer un pilotage efficace et pérenne du système, indépendant des cycles politiques. 

L’expérience l’a prouvé : lorsque les partenaires sociaux pilotent réellement un régime, ils savent en assurer l’équilibre financier. L’AGIRC-ARRCO en est la preuve : excédentaire, stable, géré avec sérieux. À l’inverse, les régimes pilotés par l’État accumulent les déficits et subissent des réformes successives sans vision à long terme.

Aujourd’hui, qu’on le veuille ou non, le principe de réalité s’impose. Avec un âge légal fixé à 64 ans, le déficit prévu dépasse 6 milliards d’euros dès 2025, et 350 milliards d’euros dans 20 ans. La question ne se résume donc pas à être pour ou contre la réforme de 2023. L’objectif de tous devrait être de se donner enfin les moyens de faire perdurer notre système de retraite dans le temps, sans être obligés de se remettre autour de la table à intervalles de plus en plus courts, en mettant de nouvelles rustines sur un dispositif qui exige des réformes en profondeur.

La CPME est prête à agir. De la capitalisation financée par le travail à l’âge de départ indexé sur l’espérance de vie, elle propose des solutions. 

Nous ne voulons plus d’un système qui subit les crises, mais d’un régime de retraite préparé pour l’avenir, solide et adapté aux mutations du travail et de la société. Nous le devons aux générations qui nous suivent. 

Stopper les discussions serait donc une erreur.

[Communiqué de presse] Retraites : le financement de l’effort de guerre est à chercher ailleurs !

La CPME participe activement au « conclave » sur les retraites. Elle reste confiante sur son issue. Qu’il s’agisse de la mise en place d’un étage supplémentaire de capitalisation, d’un âge de départ indexé automatiquement sur l’espérance de vie ou du fait de confier la gestion du régime privé de retraites aux partenaires sociaux astreints à une « règle d’or », ses principales propositions sont connues de tous. Elles visent à garantir un avenir à notre système de retraites en permettant un retour à l’équilibre financier.

Cet objectif est impératif pour sortir la France de l’ornière financière dans laquelle elle se trouve. Sans cela, et sans réduction des dépenses publiques, il sera impossible de dégager les moyens financiers indispensables aux investissements – transition climatique, IA – permettant de préparer l’avenir ou d’assurer, à court terme, notre sécurité militaire.

Mais n’en déplaise à certains, seul le travail permettra la création de richesses supplémentaires. C’est le sens de la proposition de la CPME, d’offrir à chacun la possibilité de capitaliser pour sa propre retraite en travaillant une heure de plus par semaine. Ce salaire différé est uniquement destiné à préparer l’avenir mais ne peut en aucun cas financer d’autres dépenses. Il faut le dire clairement pour éviter toute ambiguïté ou incompréhension : le financement de l’effort de guerre est à chercher ailleurs.

Suspension de la réforme de la franchise de TVA jusqu’au 1er juin 2025

La loi de finances pour 2025 prévoit de réformer le régime de franchise de TVA via l’instauration d’un plafond unique fixé à 25 000 euros de chiffre d’affaires et ce, à compter du 1er mars 2025.

Face aux réactions suscitées par cette mesure, une concertation a été menée par le ministère de l’Économie et s’est achevée le 28 février.

À l’issue de ces échanges, le gouvernement a annoncé, par voie de communiqué, la suspension de la réforme jusqu’au 1er juin 2025. Cette période doit permettre de travailler avec les acteurs relevant de ce dispositif et les parlementaires afin d’apporter rapidement des adaptations aux préoccupations exprimées.

D’ici là, les entreprises concernées ne sont pas tenues de s’identifier à la TVA ni de la facturer. Aucune nouvelle démarche déclarative ne s’impose pour le moment.

Communiqué de presse du ministère de l’économie du 28 février

[🔴 Communiqué de presse] Simplification européenne : la CPME lance un Observatoire de la surtransposition

Alors que la Commission européenne s’engage enfin sur la voie de la simplification en présentant un premier paquet Omnibus pour réduire de 35% les contraintes administratives sur les PME, la CPME lance un Observatoire qui permettra de mesurer, sur le long terme, les surtranspositions de textes européens dans le droit français. Un outil conçu pour lutter contre une dérive typiquement hexagonale

Les exemples de surtranspositions dans le droit français de directives européennes sont légion. Ils expliquent pour partie la folie administrative actuelle. Il convient donc d’y mettre un terme. Encore faut-il savoir de quoi on parle.  

Exemple récent, la directive instaurant le reporting de durabilité des entreprises (CSRD) prévoit la désignation d’un « vérificateur de durabilité ». Le législateur français a cru bon d’ajouter que son absence sera susceptible d’être sanctionnée par une peine d’emprisonnement de 2 ans pour le dirigeant de la personne morale. Cette surtransposition, en plus d’être disproportionnée, crée une distorsion de concurrence entre les entreprises françaises et européennes.

Règlement Reach, directive sur les déchets ou encore directive NIS 2 sur le numérique et la cybersécurité… Les exemples ne manquent malheureusement pas.  La CPME publiera avant l’été un premier état des lieux de normes européennes ayant été surtransposées par le législateur français. Et son impact sur les PME.

Dans cette même optique de libérer les entreprises du fardeau normatif, la CPME publie aujourd’hui « Simplification et compétitivité » un livre blanc de 70 propositions concrètes de simplifications à mettre en œuvre au niveau européen pour stimuler la compétitivité des PME.

Notre objectif est de simplifier sans déréglementer abusivement. Tout n’est pas bon à jeter, loin de là. La CPME s’est d’ailleurs félicitée des propositions formulées dans le « paquet Omnibus » destiné à simplifier drastiquement l’application de la CSRD, de la CS3D (devoir de vigilance), de la taxonomie, du mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF) et du programme InvestEU. Sur ces textes les allègements étaient indispensables, notamment pour les PME, mais il n’y a pas lieu pour autant de renoncer aux démarches visant à accélérer la transition écologique.  L’instauration d’un test PME au niveau européen permettrait de se prémunir contre les dérives sans renoncer pour autant à faire avancer l’Europe.

C’est aussi pour cela que la CPME souhaite proscrire les surtranspositions. Se contenter de renforcer les procédures d’infraction en cas de mauvaise transposition ou surtransposition par les Etats membres, tel que le propose la Commission européenne, n’est pas suffisant. 

LE LIVRE BMLANC CPME SIMPLIFICATION & COMPÉTITIVITÉ – Février 2025

Que faut-il attendre de la Commission européenne en 2025 ?

Le 12 février dernier, Ursula von der Leyen a présenté devant le Parlement européen à Strasbourg, le programme de travail de la Commission pour 2025. Très attendu, ce premier programme du mandat reflète les promesses faites par le nouveau collège des commissaires ces derniers mois.

Deux priorités ressortent du document : compétitivité et simplification. La présidente de l’exécutif européen entend alléger significativement les charges administratives des entreprises pour stimuler leur croissance économique et faciliter leurs transitions numérique et écologique.

Parmi les mesures présentées :

  • Simplification : au moins 35% de réduction des charges administratives des PME, publication de 3 paquets Omnibus sur la durabilité, sur les petites ETI et la numérisation, sur l’investissement ;  
  • Accès aux financements et investissements :  simplifier l’accès aux programmes Invest EU et aux fonds européens, finaliser l’Union de l’épargne et de l’investissement ;  
  • Innovation et croissance : Soutien aux start-ups/scale-ups, formation dans les secteurs innovants, création d’un 28ème régime juridique pour faciliter les transactions transfrontières ;  
  • Transition numérique et réduction de la bureaucratie : numérisation des procédures, création d’un « portefeuille européen des entreprises » facilitant les échanges de données ;
  • Compétitivité et décarbonation : publication des Actes sur l’industrie propre et sur la décarbonation de l’industrie

Pour en savoir plus, téléchargez la synthèse des mesures annoncées ci-dessous. 

Documents utiles : Commission Européenne – programme de travail 2025

[🔴Communiqué de presse] Propositions de la CPME pour redonner de l’avenir au système de retraites

La France fait face au vieillissement de sa population. Le nombre de retraités augmente plus rapidement que celui des actifs, entraînant un déséquilibre financier susceptible de remettre en cause l’existence-même de notre système de retraite. Il est impératif de s’extraire de ce piège démographique. Sauver notre régime de retraites exige des efforts partagés entre actifs et retraités. Le temps des mesurettes est révolu, celui de la refondation est venu. Nous le devons aux générations qui nous succèdent.

Aussi, et alors que doit s’ouvrir prochainement le cycle de réunions des partenaires sociaux sur les retraites, la CPME précise sa position et formule des propositions pour « redonner de l’avenir au système de retraites par des efforts partagés ».

Ces propositions, bien au-delà des seuls mécanismes paramétriques à court terme, visent à refonder durablement notre régime de retraites.

Pour rendre le système de retraite plus durable, la CPME propose d’ajouter au dispositif par répartition, un étage supplémentaire de capitalisation individuelle obligatoire. Cette retraite additionnelle du secteur privé (RASP) – sur le même modèle que ce qui existe aujourd’hui pour la fonction publique (RAFP) – serait gérée par les partenaires sociaux, comme l’est l’AGIRC-ARRCO. Cette épargne obligatoire, destinée à sa propre retraite, serait financée par du salaire différé issu de l’augmentation du temps de travail. Une première hypothèse serait que chaque salarié se voit dans l’obligation de consacrer trois jours de travail dans l’année (jours fériés ou RTT) au financement de sa propre retraite. Une deuxième hypothèse consisterait à augmenter le temps de travail hebdomadaire d’une heure.

Pour rendre le système de retraite plus équitable, la CPME propose d’adopter un changement de méthode sur l’âge de départ en retraite, en l’indexant automatiquement sur l’espérance de vie. Par ailleurs, les métiers exposés à l’usure professionnelle et les différences de carrières entre les hommes et les femmes pourraient être réexaminés.

Pour rendre le système de retraite plus juste, la CPME propose de rééquilibrer la solidarité intergénérationnelle en alignant le taux de CSG applicable au même niveau de revenus, qu’il s’agisse d’actifs ou de retraités. Les sommes supplémentaires collectées serviraient à l’équilibre financier du régime par répartition.

Parallèlement et pour sortir le sujet des retraites du champ politique, l’Etat confierait la gestion du régime des salariés du secteur privé aux partenaires sociaux, avec l’obligation de respecter une règle d’or interdisant tout déficit.

Documents utiles : note de position CPME

[🔴 Communiqué de presse] Plutôt qu’une fusion, la CPME plaide pour une mutualisation des moyens entre Atout France et Business France

300 000 entreprises françaises appartiennent au secteur du tourisme qui emploie plus de 2 millions de salariés et représente près de 8% du PIB. Or le tourisme, pilier de l’activité économique de notre pays, fait face à une forte concurrence internationale de nos voisins qui multiplient les initiatives pour renforcer leur offre et gagner des parts de marché.

Dans ce contexte, il est impératif de se donner les moyens de continuer à accompagner les acteurs de ce secteur qui ont choisi – ce qui est assez rare pour être souligné- de se regrouper au sein d’Atout France, dans une logique opérationnelle de filière. Ce GIE, en charge de la promotion du tourisme en France, joue aujourd’hui un rôle crucial dans la valorisation de notre patrimoine et de notre savoir-faire.  Il est en outre à préciser qu’Atout France fonctionne de manière partenariale en mêlant les acteurs publics et privés, entreprises et territoires contribuant pour moitié à son financement. 

En parallèle, Business France est dédiée à l’internationalisation des entreprises françaises.

Aussi la CPME, dans la droite ligne de ce que souhaite la Confédération des Acteurs du Tourisme (CAT), plaide pour une mutualisation des moyens qui permettrait d’optimiser les ressources et d’améliorer l’efficacité du dispositif. A l’inverse, la fusion pure et simple de ces deux entités, chacune ayant des missions spécifiques et complémentaires, risquerait de diluer l’identité et l’expertise qui ont fait leur succès. Et ce, au détriment de nos entreprises et de l’activité économique de notre pays. Un semblant d’économies qui risquerait de nous coûter cher.

La CPME au rendez-vous de l’IA

Partenaire du Sommet pour l’action sur l’IA, la CPME, a participé au Business Day, la journée dédiée aux entreprises de l’événement, qui se tenait Station F le 11 février. 

L’objectif ? Embarquer les PME dans cette révolution, et ce, dès aujourd’hui. 

Fait marquant de cette journée, le président de la République est venu Station F et il a rappelé le montant de 109 milliards d’euros, qui correspond aux investissements privés français et étrangers en matière d’IA prévus en France pour les prochaines années. Si ce chiffre impressionne, il soulève une question clé : quel impact réel ces investissements auront-ils sur l’adoption de l’IA par les PME ?

Mettre les PME au cœur de la révolution IA

C’était le but de la CPME et de son président, Amir Reza-Tofighi, qui est intervenu lors d’une session  sur le thème « l’IA pour accélérer le développement des PME », co-animée avec deux experts de Sage. 

L’opportunité pour lui de rappeler que, dans la dernière enquête CPME : 

Il a insisté sur le fait que que l’IA ne se limite pas aux grands groupes et aux start-ups. Si la France veut rester compétitive sur la scène internationale, les PME, qui sont l’épine dorsale de notre économie, doivent participer à cette transformation. Pour cela, elles ont besoin d’outils concrets, simples, et au service de leur activité. L’IA doit être accessible et actionnable, afin que les plus petites entreprises, qu’elles soient dans l’industrie, le commerce, les services ou l’artisanat, puissent s’en saisir pleinement.

« Tout le monde est concerné par l’IA, c’est une chance pour toutes les entreprises, il faut se l’approprier ! »  Amir Reza-Tofighi, président de la CPME

Pour cela, la CPME a un rôle essentiel à jouer :

  • auprès des entreprises directement pour les sensibiliser et les aider à s’approprier l’IA de manière concrète, à travers des ateliers et des webinaires
  • auprès des pouvoirs publics pour promouvoir un cadre réglementaire favorable

Le développement de l’intelligence artificielle exige des investissements massifs mais surtout une stratégie inclusive, capable de mobiliser tous les acteurs économiques et de répondre aux besoins spécifiques des TPE – PME. Ne l’oublions pas !

Pour faciliter cette appropriation aux dirigeants de TPE-PME , la CPME a mis en ligne un dossier dédié, avec des contenus experts (webinaires, fiches pratiques, conseils), à consulter ici

Chefs d’entreprise, comment intégrer l’IA à votre PME ?

La révolution de l’IA est marche et à la CPME, nous nous mobilisons pour que les TPE-PME rejoignent ce mouvement. 

Alors que cette semaine se tient le Sommet pour l’action sur l’IA dont la CPME est partenaire, elle s’est donné pour objectif de faciliter aux entrepreneurs l’intégration rapide et réussie de l’IA, dans leur activité.

Pour cela, nous mettons à votre disposition dans ce dossier spécial des conseils pratiques, replays de webinaires et fiches pratiques. Avec une question centrale : comment l’utiliser l’IA pour optimiser votre activité, améliorer votre expérience client ou encore réduire vos coûts ? 

Quels sont les principaux bénéfices de l’utilisation de l’IA pour votre entreprise ? 

  • Une efficacité accrue : l’IA peut automatiser de nombreuses tâches routinières et répétitives, comme la gestion d’e-mails ou la planification de rendez-vous, ce qui dégage du temps pour se consacrer à d’autres tâches de valeur ajoutée. 
     
  • Une prise de décision améliorée : les outils d’IA peuvent aider à analyser les grandes quantités de données que votre entreprise génère et à en tirer des résultats précieux. Cela peut vous aider à prendre des décisions plus éclairées, que ce soit pour identifier les tendances du marché ou encore améliorer votre produit ou service.
     
  • Un meilleur service client : l’IA peut également améliorer l’expérience de vos clients. Par exemple, les chatbots peuvent fournir un support client 24/7, et les systèmes de recommandation peuvent aider à personnaliser l’expérience d’achat de vos clients.
     
  • Une réduction des coûts : l’IA permet d’automatiser certaines tâches et ainsi d’améliorer l’efficacité de vos équipes.
     
  • Une amélioration des conditions de travail : les systèmes d’IA permettent de réduire les tâches fastidieuses et chronophages et peuvent donc améliorer les conditions de travail de vos équipes.

Découvrez nos webinaires pour maîtriser l’intelligence artificielle, monter en compétences et booster votre productivité !

Dans le cadre de son engagement pour accompagner les TPE-PME, la CPME a réalisé une série de plusieurs webinaires pour vous permettre d’exploiter tout le potentiel des outils IA.

En savoir plus : https://swll.to/jDEda